Tokyo, 2026. La cité brillait de néons et de vitres, envahie par le confusion silencieux de la modernité. Dans un petit domicile en satisfaction, la non-initié cartomancienne étalait n'importe quel soir ses revelations sur une table en filet enfoncer. Les tarots, usées sur les bords, répondaient à bien ses problèmes avec une minutie étrange, mais jamais totale. Certaines décodage semblaient suspendues, notamment si une fraction du message restait secrète, à propos retenue. Depuis 2 mois, à l’instant même où elle retournait sa dernière carte, le téléphone sonnait. Toujours à la même heure, vivement avec le même calme au téléphone, premier plan qu’une voix synthétique ne lui délivre une phrase, courte, décisive. À chaque envoi d'information, les signaux révélaient ce que les cartes ne disaient pas. Une prolongement. Une introduction. Elle démarra à bien tracer les horaires des appels, les phrases confiées, les cartes tirées tout de suite évident. Peu à brin, un cliché apparut. Un planning voyance par téléphone immédiate, d’une assiduité troublante. Les appels semblaient passer par une logique, comme une horloge inapparent calée sur un milieu qui ne répondait pas au générations terrestre. L’agencement des tirages se lança à se transformer. Elle ne choisissait plus les cartes, elles s’imposaient. La majeur qui les retournait tremblait mollement, à savoir guidée par un événement qu’elle ne reconnaissait pas encore. Chaque message logé complétait un carrure. Une ligne narrative parallèle émergeait, dessinant un autre elle-même, quelque part, ailleurs. Le planning voyance par téléphone qu’elle avait créés ajour derrière ajour devenait une carte temporelle. Elle ne prévoyait plus le futur des divergentes. Elle retraçait celui d’une version d’elle-même, cependant en science-fiction des temps, cependant située dans une nouvelle vérité, ou revenue avec un simple abruptement : réprimer l’invisible. Les cartes parlaient, mais leur voix devenait secondaire. Le téléphone, lui, murmurait en effet. Une flagrance incomplète, mais irréfutable. Elle n’était plus seule à comprendre. À n'importe quel signal, c’était une autre impression qui complétait sa voyance. Et elle comprenait que la voyance par téléphone immédiate ne venait pas d’un étranger… Mais d’un futur qui connaissait déjà la fin.
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